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Avec le développement du réseau internet en 1989, emploient de plus en plus l’ordinateur. Dès 1997, on peut se développer un profil en ligne et se inscrire avec des amis sur le tout premier réseau social, nommé « sixdegrees ». Mais le premier grand réseau social est Facebook, créé en 2004 par Mark Zuckerberg. À l’époque, il s’agit seulement d’un « mur » en ligne où il est possible de poster du texte et des photos. On ne pouvait pas encore « adorer » ou « partager » des contenus, des photos ou des articles. ensuite, de nombreux autres réseaux ont été créés. En 2006, c’est la naissance de Twitter : il sert à partager des articles très petits, souvent en lien avec l’information. En 2010, c’est le saut d’Instagram, qui est utile pour surtout à poster des photos, des vidéos et des stories, des petits bilans en image de sa journée. Et en 2016, TikTok fait son entrée, en se spécialisant uniquement sur les vidéos courtes. S’il est né en 2004, c’est en 2006 que Facebook prend très son envol : le réseau social permet à tout le monde de s’inscrire et passe d’un club destiné aux élèves de Harvard à un réseau mondial.

En tête de notre tableau, Squeezie et ses dix-sept millions d’abonnés sur YouTube, trente-quatre centaines de milliers ( la moitié de la population Française ) tous réseaux sociaux confondus. Mais Squeezie, c’est aussi le fondateur de sa propre agence d’influenceurs, Bump et le premier influenceur à avoir ( dans quelques mois ) sa statue au Musée Grévin. Et Squeezie, c’est aussi une intervention en plein cours en distanciel de l’ISCPA, l’école partenaire de ffollozz. Aux côtés de Squeezie, la vedette des influenceuses, Léna Situations : huit millions d’abonnés tous réseaux confondus, 400 000 types vendus de son donne « Toujours plus » qui fut meilleure vente de livres pendant un mois, première influenceuse Européenne conviée au Met Gala. Et Léna mènera une Masterclass spécifique organisée par ffollozz, la première école du marketing d’influence, le 12 juillet prochain. A la troisième place, la boite McFly

Pour toutes campagnes de communication et particulièrement lors d’une campagne d’influence digitale, il est important de choisir avec rigueur les personas que l’on souhaite toucher. pensez que l’époque du marketing industrielle est aujourd’hui résolue ! Le marketing et la visibilité se recentrent dorénavant sur des segments bien plus précis et plus personnels avec un focus tout particulier sur les « social media » ( les social medias ) donc. Alors que les influenceurs digitaux voient leur rôle grandir et leur nombre de followers ( nombre d’abonnés ) augmenter vraiment, les marques et annonceurs doivent identifier leur audience et communauté afin de communiquer à leur cible un message adapté et personnalisé. Il est donc nécessaire de choisir les influenceurs dont les centres d’intérêts et thèmes de publication se rapprochent le plus du secteur de votre marque. Alors que 92% des prospects sont sensibles aux conseils de leurs pairs ( via des posts sponsorisés ou des hashtags… ), les influenceurs apparaissent comme de véritables vecteurs de communication. Parce que ce sont des références dans leur secteur de choix ( beauté, technologie, gaming, etc… ), leurs fans leur accordent une grande confiance. Pour les influenceurs-clés de votre secteur et vous aider à faire le bon choix d’influenceur, il est recommandé de solliciter des experts du milieu. Agences mais surtout plateformes, ils sauront vous guider et vous guider vers des Key Opinion Leaders très utiles. si il s’agit d’augmenter le trafic de votre site ( via le référencement naturel ), d’offrir une communication digitale basée sur du content marketing ou de l’inbound, ces ambassadeurs/leaders d’opinion/célébrités peuvent faire la différence dans votre influence sur les social medias et votre ligne éditoriale en global.

il existe peu d’estimations fiables de la taille de l’industrie des influenceurs. L’une d’entre elles, effectuée en 2020 par le Bureau national des statistiques de Chine, où les influenceurs ont acquis une certaine notoriété plus vite qu’en Occident, estimait sa contribution à l’économie à 210 000 000 000 de dollars, soit 1, 4 % du PIB. Comme pour tout ce qui touche au numérique, la pandémie paraît lui avoir donné un coup de fouet, puisque surtout de personnes étaient rivées à leur smartphone pendant une plus grande partie du temps. L’écosystème des influenceurs remet en question les principes traditionnels de la gestion des marques haut de gamme. En plus d’être unidirectionnelles, les campagnes ont eu tendance à être standardisées, immuables et coûteuses. Un groupe exclusif d’actrices blanches pourvues de pommettes de la bonne forme était censé la constance, ainsi que l’opulence. Le même sourire sur la même photo de la même star hollywoodienne devait inciter les piétons à acheter un article pendant beaucoup années. Julia Roberts et Natalie Portman sont respectivement depuis une décennie les visages des senteurs La Vie est Belle de Lancôme et Miss Dior. Les stars comme les marques ne pensent pas combien d’argent change de mains, mais les sommes se chiffrent en millions de dollars. Selon un rapport, le montant dépensé par LVMH pour la totalité de la campagne Miss Dior s’élève à “moins de 100 millions de dollars” l’année dernière.

Fini le temps où faire sa pub se résumait à placarder des affiches ou des bannières à droite et à gauche. D’après les chiffres de Mediamétrie et d’Influence4You, moins de 30% des visiteurs feraient aujourd’hui confiance à ce genre de messages publicitaires. 6 sur 10 préfèreraient suivre les avis lus en ligne voire, pour 8 sur 10, les conseils de connaissances. C’est sur ce constat que se fonde le marketing d’influence. pour faire simple, le fait pour les marques de communiquer à travers l’intermédiaires de leaders d’opinion sur internet ou les social medias. Parmi les gagnants sûrement : les sociétés actives dans la mode, le sport, la vente d’objets pour animaux, ou encore les cosmétiques. Les quatre thématiques, où les influenceurs rassemblent le plus de abonnés d’après Influence Marketing Hub. La taille de la communauté est en effet perçue comme un gage de crédibilité par ces mêmes followers.

Certains nouveaux formats, comme les REELS sur Instagram, furent ajoutés pour concurrencer TikTok et donnent la possibilité de concevoir un contenu viral. Attention, pour que votre contenu devienne viral ou qu’il ait simplement une bonne portée organique, il faut qu’il soit de qualité. Ce qui est très important quand vous investissez du revenu publicitaire dans la gestion de vos réseaux sociaux, c’est de pouvoir mesurer votre retour sur investissement. N’hésitez pas à prendre le temps de paramétrer correctement l’accompagnement des conversions afin d’être en mesure de savoir exactement combien vous a raconté la publicité. Vous n’avez pas le temps de publier sur les réseaux sociaux de façon régulière. Les plateformes sociales ( et vos abonnés ) aiment suivre des comptes dont les contenus sont actualisé régulièrement. il faut donc choisir une fréquence ( comprise entre 1 fois de façon hebdomadaire et 3 fois journalier selon votre secteur d’activité et l’attrait de votre marque ) et s’y tenir. Si vous publiez tous les jours pendant un mois, que vous arrêtez pendant 2 mois etc. Cela fera beaucoup de dégâts que de bien à votre marque. Vous n’êtes pas en mesure de fournir du contenu de qualité. Si votre contenu est un contenu de basse qualité, je vous conseille fortement de ne rien publier et de confier le job à un professionnel qui connait les codes des différents réseaux et qui pourra réaliser du contenu qui va attirer les internautes. Voici quelques exemples de contenu de basse qualité.

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